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Le vent passe doucement
Avec passe le temps
L'heure tourne au ralentit
Mais nous on grandit
Plus que l'on le voudrait
Et cela à jamais
Tel est notre nature
Qui dirige notre futur
Tel qu'il puisse être
Malgré le dire des prêtres
Personne ne dirige notre avenir
A par nous dans le désir
Ils ne dessinent pas la forme des nuages
Ni la couleur des plumages
C'est difficile d'y croire
Et on nous prend pour des poires
Mais il nous reste toujours l'espoir
Quand vient la nuit après le soir
On suit chacun notre propre chemin
Que ce soit la mal ou le bien
On croit souvent au diable et à l'enfer
Mais moi je n'ai qu'une plume et une envie de fer
Tout les jours le soleil se lève
même si certain crèvent
Le nouveau jour sera toujours là
Ici ou dans la galaxie d'en bas
La vie sera toujours quelque part
Même si c'est pus tard
L'espoir fait vivre aujourd'hui
Même quand tombe la pluie
Au rythme de la musique virevoltante
On travers en sautant la pente
Les notes du si beau violon
Nous fait ressentir tout ce qu'il y a de bon
On saute en suivant les son entraînant
Et on suit le tout en dansant
L'ambiance entraînante est lancée
Tout le monde avance en pats chassés
On laisse notre corps bouger
Et on se laisse entraîner
Tout en gardant les yeux fermés
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Les beaux livres
Nous font parfois revivre
On devient un personnage
Page après page
Les lignes se suivent
Viennent les sentiments intuitifs
On commence par cinquante lignes
Puis pour arrêter il faut nous faire signe
Tu me le lisais avec les bons tons
Et c'est devenu une passion
J'ai avalé tant d'histoires
Jusqu'à tard le soir
Grâce à toi !
(pour mon beau père)
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Les notes de ma vie
Parfois quand je les écrits
Rendent mes jours
Souvent moins lourds
La beauté du violon
Écouter plein de sons
Les notes du piano
Délicates comme l'eau
De l'électronique
Et tout deviens magique
Tout les pas viennent à moi
C'est facile tu vois
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Les notes de la nuit
Les notes volaient dans l'air. Le violon vibrait et les mains délicates le guidait. L'herbe par terre, si haute, suivait les mouvements du vent. Le soleil était en train de se coucher. Ses rayons étaient de plus en plus colorés et la lumière baissait au fil des minutes. Le vent soufflait de plus en plus fort et la fraîcheur de la nuit s'installait doucement. Elle frissonna mais continua à jouer sans fausses notes et commença à tournoyer sur elle même.
Elle resta à jouer ainsi pendant un long moment. Si long qu'une fois la nuit venue elle continua sans jamais s'arrêter pour se reposer. Bientôt la lune apparut et éclaira la musicienne si passionné qui exerçait son art avec une tel légèreté que ses mouvements paraissaient sans efforts. Placée en haut d'une colline entièrement dégagée, la mélodie pouvait se répandre et résonner dans toute la vallée si elle en avait l'envie. Épuisée, la miraculeuse musicienne s'assit dans les hautes herbes et regarda le ciel d'un air insouciant et perdu dans la lune. Elle reprit ensuite sa musique envoutante avec encore plus d'étreinte et les notes envahissaient les lieux.
Soudain, une autre mélodie se superposa à la sienne comme si cela il avait été prévu qu'elles jouent ensemble. Un duo majestueux composé d'une jeune fille au coeur fragile et d'un inconnu de la région. La fille se mit à courir le long de la colline tout en continuant de jouer pour rejoindre cette autre personne qui fit de même de son côté. Le tout d'une puissance gracieuse en magique. Quand elle vit cette personne, elle sût enfin enfin qu'il s'agissait d'une autre jeune fille aux cheveux noirs d'encre. Mais elle ne perçut pas ses yeux yeux qui étaient fermés sous la concentration. Toutes les deux remontèrent sur la colline de la première pour mieux répandre leur mélodie et commencèrent à tourner en rond en sautillant mais jouant toujours à la perfection. Les deux violons, à l'unisson et la passion régnant es deux côtés.
Les notes résonnaient dans la nuit comme une chanson pour endormir les enfants. Les sautes et les accords s'enchaînaient puissamment comme depuis plusieurs heures maintenant sans aucune défaillance. Chacune suivait l'autre sans avoir à la regarder. Puis quand l'interminable mélodie s'arrêta contre toutes attentes, les deux musiciennes ouvrirent les yeux. C'est là qu'elle vit que les siens étaient d'un gris argenté comme magique. D'une lueur brillante et surprenante. Puis un salut se fit entre les deux jeunes filles si douées dont la complicité musicale fera rêver toute la région ainsi que tout ceux qui auront eu connaissance de leur histoire si mélodique.
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Bienvenue sur ce nouveau texte.
Ne me dites jamais, au grand jamais que je me suis inspiré d'Hunger games car je n'ai aucun moyen de le faire étant donné que je n'ai pas vu les films et que je n'ai pas encore commencé les livres.
Merci d'avance et place à la lecture.
(actuellement posté : prologue)
PROLOGUE
Les cris du public résonnaient dans l'arène. Chaque encouragement donné n'était que temps perdu. Il y avait forcément dans la ville ou sur les gradins des gens en train de pleurer la futur mort du perdant. À croire que nous étions de retour à l'époque des romains, mais sans les murs en pierres et le ciel dégagé au dessus. Les points acquis sur le terrain étaient affichés par des chauves-souris électroniques volantes. En fait, c'était surtout des cubes ailés, mais leur couleur violette me faisait penser à cet animal. Les grilles d'un métal des plus solides rendait l'ambiance encore plus pitoyable. Et dire que si j'étais là c'était à cause de mon imbécile de frère. Regarder des gens pris au hasard dans la population et les obliger à agir ainsi pour leur survie ne faisait que me déprimer encore plus que je ne l'étais de vivre dans une monde pareil. Mon frère criait comme un dingue des encouragements pour l'un des deux malheureux.
« Arrête de crier comme si ça t'amusait ! Je te rappelle que ce n'est pas un sport et que toi tu pourrais y passer n'importe quand ! Comment peux-tu supporter de regarder des choses pareilles ?! Des gens sont téléportés sans avoir rien demandé et ils espèrent ne pas tomber sur un tas de muscles !
-Pardon de vouloir encourager un ami ! Il ne s'en sortira pas c'est moi qui te le dis. -Il est trop faible et il n'y a pas de place pour les faibles dans notre système. Ce n'est pas moi qu'il faut blâmer d'avoir inventé une chose pareil. Je ne serais proche de lui que s'il s'en sort. Ah mais oui c'est vrai ! On ne les voit plus après !-Pas besoin de m'engueuler ! Je sais très bien que l'on ne va plus se voir et c'est pour cette raison que je suis venu l'encourager pour ses derniers instants de vie !
-C'est pitoyable... Même toi tu sais qu'il va mourir. »
Il baissa les yeux. Je ne voix vraiment pas ce qu'il peut avoir dans la tête celui là ! Surtout qu'une fois qu'on est rentré on ne peut sortir qu'à la fin du combat. Une fois que l'odeur du sang règne de nouveau, les organisateurs de ces combats immondes ne s'embêtent pas et laissent les cadavres des suicidaires qui se causent des chocs mortels contre les grilles de la cage immense. Les cris qui résonnaient dans toute la salle me donnaient mal à la tête et je mis mes mains sur celle ci en priant pour que ça cesse. Mais je me ressaisis en me disant que si une simple migraine m'affaiblissait, je ne vois pas comment je tiendrais au combat.
La sonnerie annonçant la fin de la bagarre retentit et je me tournai vers la flaque de sang sur la terre sablée de la scène. C'était celui de l'ami de mon frère qui était d'ailleurs planté debout le regard vide. Une larme roulait sur sa joue gauche. Fichu jeu !Chapitre 1
L'apparition soudaine.
Les points serrés mon frère était en train de craquer. Je voulais me lever pour le consoler mais d'un geste rapide il me stoppa avec sa main.
« Je n'ai pas besoin de quelqu'un pour sécher des larmes qui ne devraient même pas couler.
-Il est normale de pleurer. Tu ne pouvais rien faire. Une fois qu'on est dans l'arène on est fichu. Il le savait et il s'est battu de toute ses forces.
-Non ! Si il y avait mit toutes ces capacités il serait vivant !
-Arrête de rejeter la faute sur lui ! On est pas tous battit comme des monstres !
-Je sais ! Ce n'est pas une question de force mais de détermination !
-La détermination ne fait pas de nous des hommes plus forts.
-Si justement. »
Mon frère me fit les gros yeux avant de me tourner le dos et de se diriger vers la sortie dont les grilles s'étaient relevés. Je grimpai les marches deux à deux rapidement et une fois sortis je vis les chauves souris électroniques se répartir dans toute la ville pour annoncer les résultats. Ce soir les proches du perdant pleureront sa mort et les proches du gagnant se mettraient à prier pour que leur fils vive. Et tout les autres se demanderont si demain ce sera eux dans l'arène. Chacun avait ses problèmes mais tous en avaient un en commun. Leurs peurs ne faisaient que s'empirer et la seule chose qui poussait encore les gens à faire des enfants était d'espérer qu'un jour l'un d'eux les sortirait de là. Ce jour n'étant pas encore arrivé demain il y aura un autre combat. Peut être deux brutes, peut être une petite fille de six ans contre un gas de trente ans. Peut être deux femmes d'âge mures. Le seul combat qui ne risquait pas d'arriver serait celui deux deux vieux ou vielles puisque il n'y en a plus depuis des siècles. Nos histoires racontent qu'avant les hommes vivaient parfois jusqu'à cent ans et que certains avaient dépassé cet âge.
Cent ans... Un siècle d'existence. Cent années de théories et de découvertes. Un siècle de modes et de tendance variantes du classique au punk en passant par les côté rebelle et rock. Cent ans de traditions et de lois changeantes ainsi que de réformes. Cent longues années d'évolutions médicales et perception de vies différentes. Tout ça pour une seule et même vie. Et bien aujourd'hui vivre cinquante ans est un exploit. Allez savoir pourquoi. Nous ne savons toujours pas qui a organisé ce système massacrant et impitoyable. Je doute que nous le sachions un jour mais l'espoir n'est pas de trop dans notre société. Chacun se raccroche à ce petite bout de notre existence qui est peut être minuscule mais encore présent chez certain. Peut être qu'un jour il n'y aura plus cet espoir et que tout le monde se suicidera mais il y aura toujours quelqu'un plein d'espoir pour les sortir de là et foncer. Ci seulement la ville n'était pas entouré de ce mur d'acier de plusieurs centaines de mètres et ci ce filet électrique n'était pas au dessus de notre tête mais cela n'aurait eu aucun sens de nous enfermer si on pouvait sortir aussi facilement.
Le Soleil tapait fort. Trop fort à mon goût. De toute façon je n'aime pas le Soleil. Il me brûle. Heureusement que le jour où je serais dans l’arène je ne serais pas exposé à ses rayons. Si cela avait été le cas je n'aurais pas tenue deux secondes avant de m'évanouir comme du sucre sous la pluie. Tout ceux qui n'étaient pas allé au combat profiter du beau temps. Tu parles d'un profit... Moi tout ce que je retiens c'est que je vais crever de chaud à l'entraînement ! Il va faire plus de trente degrés au gymnase ça va être horrible ! Je sens que je vais galérer aujourd'hui ! Je n'aime vraiment pas cette journée ! Mon entraîneur va être furax... C'est vraiment une journée complètement nul ! Déjà que les autres sont pas supers mais alors elle... Je pense que ça va être la torture... Mais c'est bien ce qu'il faut ci je veux pouvoir survivre dans l'arène et renverser le système une fois que le télé porteur m'aura emporté là où vont les gagnants. Le seul espoir de chacun quoi... Il a bien fallut passer par là si je veux avoir une chance.
Notre vie n'est faite que pour ce moment et c'est justement ça le problème... Il faut justement que ce cercle vicieux soit coupé. Mais pour l'instant personne n'y est arrivé malheureusement... Je ne sais pas ce qui me dit que je vais y arriver mais autant essayer. C'est pour l'instant mon seul but et un peu celui de tout le monde. Un but de survie... Le truc qui ne donne pas envie... Mais bon c'est la vie malheureusement... On est née ici sans avoir rien demandé et maintenant faut survivre... C'est comme ça qu'est née une chanson. Très bête sans rime mais elle a eu un succès totale.
Surviving is good but life is better .
Friendship is good , but love is better.
Knowledge is good but learning is even better.
Being is good is good, but it became better
Et ça ce n'est que le refrain... Quand je pense que ces horreurs rythme notre vie... Même devenir riche ne sert à rien puisque cela ne nous protège pas de la téléportation. Faire de bonnes actions aussi ne sers à rien. Tout ce que l'on doit faire c'est se muscler pour espérer survivre à l'épreuve. Une vie qui ne repose que sur tes capacités physiques et la chance. Le seul moyen pour ne pas finir dans l'arène aux yeux de tous est de se suicider mais ça c'est pour les faibles dit dont qui n'ont pas le courage de se battre face à leur ennemi. Mais en dehors de ce fait personne ne t'empêche de te mettre la corde au coup si l'envie te vient. Tu ne peux même plus être hospitalisé si tu essayes car les cas sont pratiquement tous proches du même point. Leur problèmes plus celui de bientôt finir dans l'arène. Tu peux t'handicaper comme tu veux tu finiras quand même dans l'arène. Les créateurs de ce système n'ont laissé aucune faille que l'on pourrait utiliser pour s'en sortir. Le barrage qui entour la ville va trop loin sous la terre pour que l'on puisse s'enfuir par là.
Quelle idée d'installer un pareil système... Certains disent que si tu gagnes l'épreuve tu vas dans un monde où tout est rose et que tu n'as plus à te soucier de quoi que ce soit. Mais si c'était bien le cas alors à quoi servirait la sélection physique que nous impose cette épreuve ? Ce n'est pas logique. Et puis si une femme et un homme font un enfant est ce qu'il se retrouve dans un monde rose sans avoir eu à se battre ou est ce que l'on ne peut tout simplement pas avoir d'enfants la bas ? Il y a tant de questions sans réponses que je pourrais en faire un livre mais étant nul à l'écrit je ne pense pouvoir en tirer quoi que ce soit. Mon père m'a tiré de la littérature de ma jeunesse pour faire de moi un homme fort.
En effet mon père dirigeait une équipe d'élite près à affronter le combat posé par les créateurs du système. Il l'a d'ailleurs réussi à battre son adversaire les doigts dans le nez. Il a fait de moi une machine de guerre pour devenir la « fierté » que je n'ai jamais été à ses yeux. Mais moi ce n'est pas mon but. En fait je n'en ai pas. Comme ça c'est simple je n'ai pas à me faire de faux espoirs. C'est mieux pour ne pas péter un câble sur l'arène enfin c'est ce que moi je pense. Si j'arrive et que je tombe sur un dé-moraliseur il ne pourra rien me faire.
Une fois arrivé dans la salle de l'entraînement je me dirigeais vers les vestiaires pour me changer. Il y avait encore deux de mes « coéquipiers » qui finissaient de mettre leurs basket. Moi franchement je dis autant les avoirs tout le temps sur soit puisque le jour où on sera téléporté on aura pas le temps de se changer.
Une fois prêt je me rendis sur le terrain. Mon entraîneur était absent.
« Il est où Ted ?
-Son fils est mort dans l'arène tout à l'heure... Je pense qu'il va arrêter de donner ses entraînements et léguer sa place à la sous directrice de la section.
-Ma mère ?!
-Ouais Kentin... Ta mère.
-Oh putain...
-Je te plains mec ! »
Pourquoi ?! Ce n'est vraiment pas mon jour ! C'est la lois des séries peut être ?! C'est trop là !
Ma mère à 35 ans et elle assistait mon père avant dans la section dont je fais partis mais maintenant qu'il a gagné le combat elle gère une autre unité seule. Pourquoi et comment pourrait elle s'occuper de celle ci en même temps que l'autre ?! Si elle a trouvé un remplacent il a intérêt à être compétant ! Et aussi à ne pas finir directement dans l'arène car je sens que ci c'est le cas le groupe de notre quartier va s'effondrer. Il faut booster tout ça ! En attendant que me mère arrive il faut que l'on s'échauffe.
« Bon allez ! Trois tours en courant !
-Nan mais t'es pas bien toi !
-Qu'est ce qu'il y a Elliot ?
-Si tu commences à vouloir tout diriger tu vas te mettre trois ou quatre tas de muscles sur le dos ! *dit mon pote en chuchotant*
-Hé le petit malin ! Ce n'est pas parce que nous allons devoir obéir à ta mère que toi on va te respecter !
-Très drôle Evan en attendant ma mère ne risque pas d'arriver avant un moment à cause de son autre entraînement alors je vais prendre les reines du groupe car je suis sûr que c'est ce qu'elle voudra. En attendant si tu ne me crois pas je n'ai qu'à l'appeler et lui demander son consentement !
-Il me tarde de voir ça ! »
Je me dirigea vers les vestiaires et pris mon portable en sélectionnant le numéro de ma mère dans mon répertoire. Je leur montra le numéro et attendis qu'elle réponde. Ma seule crainte était qu'elle ne réponde pas à cause de son débordement d'emploi du temps. Mais à ma grande surprise j'entendis un « Allô ? »
-Coucou maman !
-Kentin ! Je voulais t'appeler mon chéri ! Est ce que tu peux prendre en main le début de l'entraînement s'il te plaît je devrais arriver d'ici 10/15 minutes mais je ne voudrais pas vous retarder alors en piste !
-Ok pas de souci je lance l'échauffement ! »
Je déteste quand elle m'appelle "mon chéri et ça va être ça à chaque entraînement...Heureusement que j'avais mis le haut parleur et à la tête d'Evan il avait entendu l'appel et était donc près à suivre mes ordres.
"Donc je disais... Trois tours !
-T'as eu de la chance Kentin...
-Non non ce n'est pas de la chance je te rassure ! »
Une fois les tours terminés on se mit sur les tapis souples pour échauffer les articulations et ensuite on révisa les techniques de combat de base. Ensuite ma mère arriva et elle prit la suite de l'entraînement. On enchaîna les combats sur sol dur pour nous habituer à la difficulté. Chacun de nos mouvements étaient calculés et voulus. Nos mouvements étaient souples et bien visés. Au bout de quatre heures d'entraînements acharnés on se redirigea vers les vestiaires mais ma mère m'interpella et je me redirigeai vers elle.
« Je voudrais que tu prennes en charge la section que je menais avant.
-Pardon ?! Mais je n'ai pas reçu la formation d'enseignant et puis je suis trop jeune pour gérer une section complète !
-Nous manquons de remplacement ces derniers temps entre les parents qui abandonnent leur poste à cause des combats qui leur font perdre leur enfants où ceux qui se retrouve dans l'arène même. Je sais que tu fais partis des plus fort et avec moi à ton commandement je sais que ça sera parfait comme job pour toi. Tu auras plus d'occasions pour t'entraîner et tu pourras faire de ces cours un moment plus agréable que quand c'était Ted qui en avait la charge.
-Tu sais quoi ? J'accepte avec joie !
-Super ! Je savais que je pouvais compter sur toi ! Je te donnerais ton emploi du temps à la maison il faut que je le demande à la direction.
-Pas de souci ça me va ! »
Et hop là ! Plus de maman à l'entraînement ! Quand je pense qu'il y a un an je n'aurais pas été capable de mettre un coup de point sur une pauvre cible en mouvement... Maintenant je vais gérer un vrai section ! Mais comment vais-je faire pour gérer mes cours en même temps ? Mon père pensait qu'avec le courte vie que nous avions il suffisait d'avoir des muscles pour vivre... Moi je pense qu'il faut avoir des muscles pour « survivre » et de l'intelligence pour « vivre » variante... Une fois changé je sortis et pris le chemin qui me ramène chez moi. Mais après une journée aussi fatigante je fis un détour pour allez longer le fleuve de la ville. Je marchais sur le bord de la route tranquillement jusqu'à passer sous le pont principale. La je me dirigea vers la barrière et me mis sur la pelouse. Puis il y eu un gros « BZZZZZZZZZZZ... » Surpris je me suis retourné en direction de la route. Une sorte de cercle lumineux c'est formé d'une lueur entre le bleu et le violet. Des points ressemblants beaucoup à des étoiles envahissaient la surface en forme d'ovale mais dont la matière n'est pas stable. Et d'un coup je vis une touffe rouge et noir sortir à grande vitesse. Je me releva d'un bon et m'approcha de la forme qui se révéla être un homme plutôt musclé d'une allure rock and rol avec ses cheveux d'une couleur pétante. Puis d'un coup de tête brusque il me regarda. Ses yeux avaient un air de démon dont l'envie de tuer était plus forte que toutes les autres émotions. Un frisson me parcouru la colonne vertébrale et me fit vibrer la tête. Nos yeux restèrent fixés ainsi pendant plusieurs minutes sans que la moindre syllabe ne me vienne à l'esprit ou un quelconque mot que je puisse exprimer.
Puis la tension se rabaissa et l'homme parut moins tendu. Ses trais se détendirent et ses épaules se relâchèrent. Mais je ne pouvais m'empêcher de continuer de trembler. Est ce que c'était ça qui allait me conduire sur l'arène ? Nan je ne pense pas car le prochain combat n'était que demain. Alors pourquoi ce truc était il apparu ?! J'étais perdu et le temps passait tendis que l'on s'observait. Puis il baissa la tête et j'entendis un rire cruel puis une voix rauque dire :
« Hahaha... Les salauds... »
Puis il releva la tête brusquement et éclata de rire. Il avait un côté presque cruel avec les avants bras replié et les doigts redressés jusqu'à ce qu'il se courbe le dos les bras ballants. C'est là que j'ai entendu un reniflement bruyant. J'étais troublé et je n'arrivais plus à bouger et je restais planté là sans savoir comment réagir. Fallait il que je parte en courant ou que j'aille lui demander si ça allait même si de toute évidence ce n'était pas le cas. Je me suis approché d'un pas hésitant.
« Est-ce... Est-ce que je peux faire quelque chose ? Vous venez d'où ?
-Où est ce que je suis ?! Me répondit-il d'un ton brusque et désespéré.
-Et bien vous êtes à Jail City qui est je pense la dernière ville du monde.
-La dernière ville du monde ?! N'importe quoi ! Et puis ce nom de ville n'existe même pas t'es qu'un gros menteur !
-Euh pardon... Mais si pour vous cet endroit n'existe pas alors d'où venez vous ?
-Je n'en sais rien...
-Tout... Tout à l'heure vous aviez l'air fâché contre quelqu'un et je me demandais si ça ne serait pas la personne qui vous a emmené ici. Vous êtes arrivé par téléportation comme les condamnés vous savez alors peut être que vous venez de l'arène même si le prochain combat à lieu demain cela expliquerait peut être un bug.
-Des condamnés ?! De la téléportation ?! Vous avez habitude de prononcer ces mots ?! Une arène ?! Mais je suis tombé au moyen âge ou quoi ?! A bah non bien sûr... Au moyen âge il n'y a pas de téléportation...
-Ces mots font partis de notre quotidien voyons... Le voyage a dut vous causer une perte de mémoire je pense... Je vais vous emmener voir un médecin.
-Un médecin ?! Pour quoi faire ?! Je ne suis pas fou !
-Vous êtes peut être victime d'un trouble de la mémoire je vous dis...
-Non ! Je veux faire payer ces salauds !
-Mais qui ?!
-Ceux qui m'ont emmenés ici par dit ! Ces satanés scientifiques !
-Des scientifiques ?!
-Oui ! Je ne me souviens plus trop mais une chose est sûr c'est de leur faute si je suis là !
-Mais comment ça ?!
-C'est quand même pas compliqué ! C'est crétin m'ont envoyé ici ! Mais je ne sais même plus pourquoi... Une chose est sûr je ne viens pas de ce monde !
-Qu'est ce qui te fais dire ça ?
-Les mots que tu utilisent ne sont pas courant dans le notre tout simplement !
-Si tu le dis mais bon je ne suis pas convaincu... Comme tu as l'air perdu tu ne voudrais pas que je te loge ?
-Tu dis ça par pitié ?! J'en suis sûr que oui ! Je n'ai pas besoin de ton aide !
-Bon bah prend au moins ça. »
Je lui ai tendu un billet de 20 euros.
« Je ne veux pas de faux billets !
-Ils ne sont pas faux !
-Où est la barre brillante ?!
-Mais de quoi tu parles ?! Si tu veux on va acheter de quoi manger avec tu verras qu'il est vrai !
-J'ai hâte de te voir valdinguer... me dit il le sourire aux lèvres »
Il était vraiment bizarre...
On s'est rendu à une épicerie où j'ai payé avec le billet de boîtes de sandwiches sans goûts. L'homme à prit le billet puis la mis dans sa caisse avant de me rendre ma monnaie. On est sortit et lui restait scotché devant la fait que je ne me sois pas fais viré pour tromperie ou escroquerie.
« Alors ?
-Alors je suis vraiment dans un autre monde... J'étais presque revenu à douter mais là c'est confirmé !
-Et bien si c'est le cas je pense que si tu restes tout seul dans la rue tu vas te perdre alors je te re-propose est ce que tu veux venir loger chez moi un temps ?
-Je sais pas t'as quoi comme braque ? Dit-il d'un air malin.
-Une maison à côté du QG militaire. Mon père était l'un des plus grands dirigeants de section défense ou entraînement intensif comme disent les idiots.
-Mais c'est quoi cette histoire de défense là ?!
-Bon on rentre et je t'explique tout Ok ?
-Ok je te suis mais j'espère que tu n'habites pas loin et puis j'espère que tu habites seul. Je n'aimerais pas que tes parents ou ta copine me balance dehors.
-J'aurai bientôt ma propre maison car je viens de prendre en charge une section ce qui veut dire que je vais avoir un logement de fonction mais en attendant je vais chercher un ami si je puis dire car les autres sont déjà passé à l'arène. Il nous servira d'excuse.
-Comment ça ?
-Quand ma mère me demandera qui tu es je lui expliquerais que tu es un « ami » à mon ami qui au passage s'appelle Lilian.
-D'accord... Mais c'est quoi cette histoire de finir dans l'arène ?!
-Je t'ai dis que je te donnerais tout les détails une fois chez moi. Sois un peu patient à la fin ! On est pas loin de chez lui et ensuite on prendra le bus pour la montée de la colline.
-Ok je te suis. »
On a marché pendant cinq minutes en se rapprochant de plus en plus de la colline jusqu'à arriver devant un immeuble recouverts de terrasses en verre recouvertes de lierre. Chaque terrasse était bombé vert le bas d'une façon très jolie. Une petite fenêtre sur la partie droite était ouverte et une odeur de gâteau en émanait. Une porte se situait juste à côté du bâtiment qui quand ils l'ouvrirent donna sur un couloir débouchant sur une petite coure recouverte de fleurs de toutes les couleurs et dont la pièce centrale était une fontaine encore en marche malgré les feuilles qui grimpaient dessus. De la mousse recouvrait toute la partie basse sous le bassin. Une sorte d'aquarium ressemblant à plusieurs tuyaux transparents reliés les uns aux autres suivaient la bordure du mur et de temps un temps un poisson bleu ou rouge passait.
"Sympa l'ambiance féerique qui fait irréel.
-Pourquoi irréel ?
-On ne trouve pas se genre de chose dans les immeubles de mon monde.
-Dans la ville chacun essaye de laisser une trace de lui pour qu'une fois partit à l'arène on se souvienne de lui.
-Je ne pose plus de question si non tu vas encore me dire d'attendre et je vais m’énerver...
-Rholala ce que tu es susceptible...
-Tu dis ça encore une fois et mon point ce retrouve sur ta figure.
-Ok Ok pas besoin de s'énerver ! »
La coure ronde avait six portes les unes à côté des autres toutes style porte vitré. Il en ouvrit une à gauche du côté de l'immeuble en verre. Elle donnait sur un vielle ascenseur en verre recouvert de barres métalliques. Il était très étroit mais juste assez grand pour que puisse y passer quatre personnes mais un peu serrés. On l'appela et au bout d'un peu moins de trente secondes il fut là. On rentra dedans et il appuya sur l'étage la plus haut : le 15ème. Une fois arrivé en haut on tomba sur un seul palier donnant sur une grande porte rouge ocre un peu comme la tapisserie en velours des murs mais en plus foncé. Je sonna sur un interrupteur en forme de petit bouton doré.
« On dirait un appartement de grands parents...
-Tu vas vite changer d'avis ! »
Des bruits de pas nous parvinrent. Et là dans l'encadrement de porte se dessina un jeune homme plutôt grand et blond.
« Hey Kentin !
-Salut Lilian. J'aurais besoin d'un service si ça ne te dérange pas.
-Pas de souci entre ! Qui est avec toi ?
-A oui au fait tu ne m'as pas dis ton prénom.
-Je m'appelle Castiel. »
L'intérieur de l'appartement de Lilian à tout sauf l'air d'être vieux. Il est équipé de toutes les dernières technologies. Il nous installa chacun sur un pouf bleu en face de l'écran invisible.
« Tient tes lunettes Kentin et tient j'en ai en plus Castiel. »
Ces lunettes sont en faite plus ressemblent à des casque de réalité virtuelle.
« A quoi cela sert il que je mette cette chose devant mes yeux ?
-Tu vas voir. Tourne la tête que je t'accroche la sangle.
-Nan c'est bon je peux le faire tout seul.
-Si tu veux mon on galère toujours la première fois. »
Après avoir essayer en vain pendant cinq minutes il accepta mon aide.
« Rien n'a changé en fait.
_Normal tu n'as pas appuyé sur le bouton on. »
Je l'actionna et il eu un mouvement de recule brusque. La première fois ça m'a fait pareille. Maintenant il pouvait lui aussi voir tout les écrans et montages visuels que ces lunettes permettaient de visionner. Différents liens se trouvaient sur les écrans, un chien aboyait silencieusement car Lilian avait dut couper son son. La météo était affiché sur une maquette de la ville et un combat de laser était sur pause. Lilian enleva les écrans inutiles et nous demanda ce qui nous emmenait là.
« C'est un peu compliqué à expliquer pour faire simple Castiel ici présent à été téléporté mais pas dans l'arène. En plus de ça il ne vient pas de notre monde. Il est au courant de rien de ce qu'il se passe ici ni même de notre système. Il est complètement pommé et je le comprends. Il va falloir le mettre au parfum.
-Très bien. Quel est mon rôle ?
-En premier temps je pensais que tu pourrais lui montrer les dernière folies technologiques. Et ensuite je voulais te demander si tu pourrais venir dormir chez moi quelque temps pour le présenter comme ton ami pour pas que ma mère lui demande d'où il vient. Je ne voudrais pas lui expliquer ce qui s'est passé pour ne pas l’inquiéter si tout venait à rentrer dans l'ordre.
-J'ai plus simple Kentin ! Il n'as qu'à rester dormir ici comme ça ta mère ne se posera pas de questions !
-T'es sûr ? Je ne voudrais pas abuser de te gentillesse...
-Et après on dit que les capitaines de section sont tous des gros durs désagréables... T'es loin du compte toi !
-Mais comment es-tu au courant pour ma nomination ?!
-Les nouvelles vont ici vites à ce que je vois ! Même si je ne sais pas de quoi vous parler... dit Castiel
-Mais nan c'est juste que la mère de Kentin m'a appelé pour m'annoncer la nouvelle.
-A d'accord... Content de savoir que ma mère te met au parfum avant moi...
-T'inquiète c'est pas grave ! Mais tout de même ça ce faite ! Directeur de section tient ! Je vais chercher quelque chose dans le frigo et je reviens. »
Il partit dans une pièce qui se trouvait derrière nous à droite et revint deux minutes plus tard avec trois coupes et une bouteille de champagne toute neuve.
« Dit dont tu sors un ben grand jeu ! Etre capitaine de section à l'air très important dans votre monde... Mais section de QUOI ?!
-Du calme ! Lilian et moi on va tout reprendre depuis le début.
-J'ai une maquette de la ville qui nous permettra de placer les éléments que l'on va te citer. ajouta Lilian
-Bonne idée ! Bon alors tout d'abord il faut que que nous te donnions des repaires dans le temps. Nous sommes en l'an 5 532 ;
-Quoi ?! On est dans le futur ?!
-Peut être pas je pense. Nos historien ont trouvé des traces de calendriers en pierres venant d'il y a au moins cinq mille ans ce qui expliquerait qu'aujourd'hui nous sommes au 5e millénaire. Mais tout dépend de quand les humains de votre monde ont commencé à compter les années.
-Nan mais sérieux ça se voit à votre technologie ! Par contre nous on a plus d'arène actif...
-Bon reprenons. les coupais-je. Par rapport à la maquette nous sommes ici (: il indiqua un lieu à ce qui serait la base de la colline) et la maison où je réside en ce moment est là. (cet fois ci il pointa son doigt en plein milieu du sommet)
-Belle position.
-Oui enfin ça ce n'est pas grâce à moi. Bref... Pour ce qui concerne notre système il est très simple. Tu vois ce grand cercle violet là ?
-Oui c'est quoi ?
-L'arène.
-T'es sûr là ? Parce que chez moi les arènes sont des bâtiments serte en cercle mais ils sont fais en pierre et ils sont à toi ouvert.
-Oui et bien c'est une version amélioré si tu veux. Chaque jours deux personnes au hasard sont téléportés dans l'arène à 13h et elles doivent combattre jusqu'à ce que mort s'en suive.
-Et si ils refusent de se battre ?
-Ce n'est arrivé que très rarement et ils se sont fais consumer par des laser dont nous ignorons la source d'énergie.
-Je n'aurais pas pus tomber ailleurs franchement !
-Ne te plaint pas franchement.
-Et pourquoi donc ?!
-Parce que le fait que tu viennes d'un autre monde fait que tu ne peux pas être sur la liste des habitants prient au hasard. Donc pour toi il n'y a aucune chance que tu tombes dans l'arène alors que Kentin et moi pourrions y passer demain. expliqua Lilian
-Vous devez bien dormir la nuit dit dont... »
Pendant quelque secondes le silence régna mais Lilian le brisa.
-Bref... La ville est entouré d'un mur de béton d'au moins cinq mètres de large et le grillage qui est au dessus de notre tête est en faite plusieurs centaines de fils électrique du même genre que les lasers de l'arène donc pas moyen de les contourné ou de les détruire. La seule chose que nous avons eu comme idée c'est de s'entraîner au combat et essayer gagner dans l'arène pour voir ce qu'il se passe et peut être pouvoir détruire le système. En ce qui concerne la téléportation nous n'avons pas un savoir assez élevé pour les dévier ou les stopper à longue distance de la source.
-Et ça fait combien de temps que ce mur est dressé ?
-473 ans. La ville à évolué bien sûr comme l'arène d'ailleurs.
-Depuis l'époque des rois ?!
-Bien sûr que nom ! Les rois ça remonte à au moi 2 000 ans ! C'est juste que depuis le mur on a beau changé on avance pas vraiment parce que tout les génies meurs avant de pouvoir finir leur travail alors forcément les dernières créations sont des inventions relayer par les technodict.
-Les quoi ?!
-Les technodict sont des gens un peu comme Lilian sauf qu'ils ne font pas que collectionner les nouveautés technologiques ils les construises et les améliores. Mais ces gens ne se concentre que sur ce qui est écrans et réalités virtuelles. Pas dans les moyens de transport ou les congélateurs. Ils s'occupent aussi des systèmes de sécurités pour les habitats et aussi certains de la nourriture déshydraté mais les nettoyeur d'eau comme on les appels en générale ne sont pas au point. On les appelle comme ça car c'est appareil que l'on peu emporter par tout. Aujourd'hui tout les logements sont alimenté en électricité par les panneaux solaires et les éoliennes de la colline. Nous ne pouvons pas nous permettre d'utiliser d'autres sources étant donné que la ville n'est pas si grande que ça. terminais-je. Et maintenant Lilian si tu voulais bien lui montrer les derniers cris en terme de technologie intérieur.
-Pas de souci ! Bon alors comme tu l'as remarqué grâce à ses lunettes tu peux déplacer des écrans sur les murs et faire apparaître des éléments virtuels. Lève toi je vais te montrer sur quoi je travail en ce moment. »
Castiel se redressa et le suivit en direction du côté gauche de l'entrée par laquelle il était arrivé avec moi. Il y avait un long couloir dont tout le long des murs était recouvert de tapisserie dont les formes de motifs changeaient constamment. Plusieurs portes se trouvaient sur le côté droit. Il s'arrêta devant la troisième et mit son index dans un petit creux sur le côté droit de la porte dont l'image des lunettes me montraient un ciel nuageux comme si c'était un vellux. On entendit un « Clang ! » Et la porte s'ouvrit. Une grande bai vitré surplombait toute la partie en face de la pièce. Deux bureaux était placés de chaque côtés et au centre trônait une sorte trottinette. Sauf que ce n'en était pas vraiment une. En effet elle n'était pas réelle et elle flottait si je puis dire dans les aires mais en fait ce n'était qu'une illusion des lunettes de réalité virtuelle. Elle était comme projeté.
Lilian s'approcha et la fit pivoter.
« Alors ? Vous en pensez quoi ? nous demanda-t-il.
-Ouais bah c'est une trottinette quoi elle n'a rien de spéciale même si je dois admettre que ces lunettes sont classe !
-Rha l'insulte ! dit Lilian en rigolant. Ceci est serte une trottinette mais pas que ! Regardez plutôt ça ! »
Il pris sa tablette et se mit a afficher différent éléments qui étaient sous la structure extérieur de la patinette. On vit apparaître un panneau solaire au niveau du guidon et un plus petit au dessus de la roue arrière. Il avait placé un mini moteur également au dessus de la roue. De toute évidence les deux ne pouvaient être déployer en même temps. L'un pour recharger et l'autre pour consommer la charge. Mais il y avait également un compartiment sous la planche pour stocker des affaires si je ne m’abuse ou pour la batterie et le mieux était les aimants. C'est petits bouts de métal pouvaient repousser d'autres aimants à condition qu'ils soient placé en négatif.
« Très intéressent ! Mais il faudrait faire une sorte de ligne magnétique pour que ton engin fonctionne. Commentais-je.
-En effet. J'ai déjà élaboré un plan à ce sujet. Tient regarde. »
Grâce à sa tablette Lilian fit apparaître sur le verre des bais vitrés un plan tracé en blanc. Une sorte de raille unique était représenté de face grâce à un point de fuite puis de profil sur une autre des fenêtres.
Castiel s'approcha et c'est alors qu'il s'aperçut que d'ici on voyait toute la ville ou presque. Seul deux grands bâtiments gâchaient la vue. Puis il reporta son attention sur le plan tracé à quelques centimètres de ses yeux.
« Et donc ce machin en métal serait placé dans toute la ville ?
-Pas forcément partout c'est pourquoi il y a encore des roues sur mon prototype mais une fois que la ville aura pus financier d'assez grande surface couverte par mon rail magnétique je pourrais envisager de supprimer les roues et de construire des véhicules plus imposants.
-Nan mais et puis c'est qui le maire ?! s'écria Castiel
-Le quoi ? demandais-je surpris
-Il doit parler d'un chef de ville comme il y a Plus de 500 ans. répondit à sa place Lilian
-Oh... Il n'y en a plus tout est électronique. Tout les moi on peut venir entrer une demande pertinente sur des bornes et tout les trois mois un vote est effectué pour choisir les trois projets ou travaux qu'il faudra effectuer en premier. expliquais-je calmement
-Donc vous n'avez pas de « chef » ?!
-A quoi cela servirait-il ? Il faudrait faire des études de droit puis des élections tous ça pour quelqu'un qui ne restera pas plus de deux ans au pouvoir. répondit Lilian dans un soupir3
Il lui fit visiter le reste de son appartement et ensuite on se mit sur les poufs pour qu'il lui fasse une démo des nouveaux jeux en vogue. Puis mon portable sonna. C'était le numéro de mon frère qui ne m'appelle que quand il y a un problème.
"Allô ?!
-Kentin ! Ted s'est suicidé !"
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